Mariage pour tous : un homme accouche d’un bébé neutre !!

Incroyable : en Allemagne, un transsexuel devenu mâle, mais ayant conservé ses organes féminins, a mis au monde un enfant conçu par insémination artificielle. Ce « papa » a refusé de donner un sexe à son bébé né à domicile… Des sénateurs socialistes préparent actuellement un projet de loi pour que ce genre de choses puissent se produire en France. La déshumanisation, c’est maintenant !

Est-il besoin de commenter cette information terrifiante relayée avec complaisance par le magazine culturel de Libération, Next Libération (« Culture, tendances, mode, design ») ?
Les fonctionnaires de l’état civil allemand de Berlin, malgré leur plus grande tolérance, ont été confrontés à un cas particulièrement gênant , un « casse-tête administratif », comme le définit, avec tant d’humanité, Libération. Le 11 avril dernier, ils ont dû prévenir les autorités compétentes en matière d’enfance et de santé publique qu’un « homme venait d’accoucher » chez lui.
Le transsexuel, une femme qui avait décidé de devenir un homme, sans pour autant se faire enlever ses organes génitaux, a ainsi accouché chez lui (elle?) d’un enfant créé par insémination artificielle. Il (elle ?) se définit comme un homme et il s’est fait enregistrer à l’état civil comme tel, après avoir suivi un traitement hormonal. Selon l’élue écologique locale, Anja Kopfinger, « il a clairement l’apparence d’un homme. Il porte un bouc et n’a pas de seins ». Encore une vision stéréotypée et archaïque de la masculinité !
Le désormais homme a ainsi exigé être considéré par l’administration comme le père de l’enfant dont il a accouché. Très progressistes, les autorités se sont exécuté : ce statut de père lui a été accordé et a été inscrit dans les registres d’état civil. Il s’agit du premier enfant né uniquement d’un père ! «Dans toute ma carrière, c’est la première fois que je suis confronté à une chose pareille. A un moment ou à un autre, cet enfant va bien découvrir que son père est en fait sa mère !», s’est indigné Falko Liecke, le fonctionnaire réactionnaire en charge des affaires sociales de l’arrondissement de Neukölln, où l’enfant neutre est né.
Bien sûr, dans son combat pour la tolérance et l’égalité pour tous, le « père » (SIC) a également demandé à ce que l’enfant n’ai pas de sexe officiel et soit déclaré comme étant neutre. Dans leur homophobie primaire, les agents de l’administration ont refusé cette requête pourtant si légitime : « Un enfant sans sexe ? Là j’ai eu des doutes… », a expliqué Falko Liecke en dissimulant son homophobie derrière une pseudo préoccupation pour le bien être de l’enfant. Un catho intégriste, de toute évidence !
Au final, sous la pression des autorités homophobes, le père a été contraint de donner un sexe à l’enfant. S’il a déclaré un fils, aucune source médicale ne peut vérifier que l’enfant dispose bien d’un sexe masculin, le futur père exemplaire ayant accouché à domicile, avec l’aide d’une sage femme.
En Allemagne, depuis 2008, les transsexuels peuvent changer leur identité sexuelle sans opération chirurgicale, avec simplement deux certificat psychologiques. Depuis la création de cette loi progressiste, le nombre de changements de sexe officiels a plus que triplé dans le pays, passant de 444 en 2005, à 1657 en 2011. Seul un petit flou juridique continue d’exister autour d’éventuelles naissances (on va pas s’emmerder pour des gosses non plus…). D’ailleurs, selon la présidente de l’Association pour la transidentité et l’intersexualité allemande, Andrea Budzinski, «l’Allemagne va devoir s’organiser. Il va y avoir des hommes enceints et des “Väterinnen” (néologisme qui pourrait se traduire par “pères-femmes”). Un jour ça deviendra banal».
Les Allemands sont habitués à ce genre de familles équilibrées puisqu’en 2009, la Cour d’appel de Cologne avait déjà autorisé dans un pareil cas la personne qui avait porté et accouché d’un bébé , à être considérée comme son « père » par l’état civil.
Mais rassurez vous : nous pourrons bientôt avoir ce genre de cas en France puisque les parlementaires socialistes Maryvonne Blondin et Michèle Meunier, à la tête d’un « groupe de travail sur l’identité de genre », nous promettent que le projet de loi arrivera bientôt ! «Nous réfléchissons depuis quelques mois à une loi qui faciliterait le changement d’état civil pour les transexuels. Comme en Argentine, en Allemagne ou en Espagne, il s’agirait de permettre à ces personnes d’obtenir de nouveaux papiers, correspondant à leur physique, sans avoir à se soumettre à une opération chirurgicale», précise ainsi la sénatrice PS Michèle Meunier.
Heureusement que les dangereux obscurantistes opposés aux lois progressistes de Taubira ont été frappés du sceau de l’infamie et que le progrès est désormais en marche… Déjà, fin juin, la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) a recommandé l’introduction de la notion d’«identité de genre» dans le droit français (bien que Najat nous jure que les théories du genre n’existent pas…), afin de faciliter les changements d’état civil des transsexuels. La CNCDH, ainsi que les deux parlementaires socialistes demandent donc une déconnexion de la procédure judiciaire et de la procédure médicale (autrement dit, les socialistes veulent que les organes génitaux ne définissent plus l’homme et la femme).
De la même manière, en suivant les lumières socialistes, serait-il possible, quand on se sent 20 ans et que l’on en a 80, de changer d’état civil ? Cela serait intéressant pour les cartes SNCF et mettrait fin à de nombreuses discriminations ? Il faudrait également pouvoir changer sa taille sur consultation psychologique !
Dire qu’ils nous ont juré pendant tout le débat sur le mariage pour tous que ce genre d’horreurs digne du Meilleur des mondes ne se produiraient pas en France… Ils avancent maintenant à visage découvert !

 

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